Certes j’aime ce que je pense
La force éparse des idées
Me semble par mon coeur aidée !
J’espère, je crois, je dépense
Mes ailes aux amples coudées.
Le front brûlant, l’âme obsédée,
Je puis mourir de turbulence.
– Mais toi seul est ma récompense…
Poème de l’amour
Poèmes de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles